Les thèmes abordés, des racines du blues rural au blues moderne le plus contemporain, en passant par le rock, ont permis aux onze stagiaires de s’exprimer sur leur instrument, avec à la clé de multiples techniques de jeu et d’expressivité dans un esprit d’ouverture la plus grande.
Pour Jean Claude Rapin, la musique est une expression personnelle qu’on se doit de développer.
« Ce n’est pas la guitare qui vibre, ce sont vos doigts qui vibrent » , à chacun sa propre interprétation.
Le stage s’est conclu sur un concert de fin de stage qui a permis à certains stagiaires de présenter le fruit de leur travail. Un grand merci à Jean Claude pour sa disponibilité et son attention à chacun. (Daniel)
- Des participants vértitablement impressionnés par la maître de stage "qui fait ce qu’il veut avec sa guitare"
- Jean-Claude n’a pas manqué de visiter le musée du car sous la houlette de Nathalie...
- et du président de La Vanaude